Dans le but d’attirer investisseurs et ressortissants étrangers, le gouvernement mauricien a décidé de créer les IRS et RES dans le secteur immobilier. Tout le monde est concerné par ces deux lois, toutefois si l’IRS s’adresse à la classe supérieure, le RES s’adresse à un plus large public.
Quand est-ce que l’IRS est bénéfique et quand elle l’est moins ?
L’un des plus grands avantages de l’IRS reste le délai. Lorsqu’une personne s’offre une résidence IRS, elle obtient simultanément le droit de résidence, de même que son compagnon légal (compagne) et ses enfants mineurs. Ce régime est aussi valable pour les achats ou pour les locations. Le client peut louer ou acheter plusieurs biens à la fois. L’IRS est également bénéfique au niveau fiscalité. Elle propose la réduction des impôts sur l’immobilier, voire même l’absence de certains impôts.
Malgré ces propositions plus que satisfaisantes, il est encore jugé trop cher de payer au minimum 500.000 $ même pour des résidences de luxes. De plus, la limitation de la surface du terrain pose problème, car son plafonnement à 5.276 m² au maximum reste moindre par rapport aux attentes des clients.
Qu’en est-il de l’RES ?
La loi sur les résidences IRS et RES sont identiques à quelques détails près. Leurs avantages et inconvénients ne sont pas si différents. D’un côté, le RES cible plus la classe moyenne, d’où l’inexistence du seuil minimum à investir dans une résidence.
Cependant, le droit de résidence avec la famille n’est donné qu’à partir d’un achat de 500.000 $. L’argent n’est plus alors un problème pour les résidents sous RES. Néanmoins, la limite de la surface achetable reste toujours présente ici. Et, elle reste la même que pour l’IRS, c’est-à-dire 5.276 m².